Caroline et Yannick

J'étais assis au bout du canapé, en short et tee-shirt. Comme il faisait chaud, j'étais pieds nus, en tenue maison. Je regardais avec passion un match de foot de la coupe du monde 98, en sirotant un coca et en dégustant une banane.
Caroline entra dans l'appartement. Grande, blonde, 22 ans, franchement tout pour plaire. Elle entra et me fit un bisou rapide mais voluptueux quand même. Elle passa dans la salle de bain pour se rafraîchir, après une dure journée passée dans la salle d'un restaurant où elle travaille comme serveuse.
Quelques minutes plus tard, elle sortit de la salle d'eau, en tenue décontractée : un grand tee-shirt qui lui descendait jusqu'aux cuisses (je savais qu'elle ne portait rien dessous), et ses chaussures noires à grosses semelles, qu'elle n'avait pas quittées depuis le matin. Cela voulait tout dire. Alors elle s'approcha de moi et s'assit à l'autre extrémité du canapé, recroquevillée, les mains sur les genoux, et le menton sur les mains. Nous nous sommes regardés.
Au bout de quelques secondes (ces secondes qui paraissent des heures), elle m'a sourit et a tendu ses jambes, sans un mot. Ses chaussures à grosses semelles se sont posées sur mon short. Le match de foot continuait, mais ce n'était plus mon problème : j'allais abandonner le foot pour les feet. N'y tenant plus, je lui enlève une de ses chaussures, et je me mets à lui caresser doucement le contour de son pied, puis le dessous. Son pied est chaud, doux, souple, moelleux. A force de passer ces heures dans cette prison de cuir, il est légèrement rosé. Je lui masse doucement la plante de son pied avec mes mains, puis le lui fais des petits baisers. Je remarque que ses orteils sont encore solidaires les uns des autres, tenus par une colle magique et sensuelle.
J'approche son pied de mon visage, et je remarque la légère odeur qu'il dégage, et çà m'excite. Alors je passe ma langue sous ses orteils, puis entre eux, les décollant les uns des autres, puis, pour varier, je lèche et mordille son talon. Appréciant visiblement ma démarche et n'y tenant plus elle même, elle déchausse son autre pied, et le rapproche du premier. Le second me rappelle les sensations que j'avais connues quelques minutes plus tôt avec le premier, et cela ravive mon excitation.
Je regarde le visage de Caroline : elle s'est complètement allongée sur le canapé, a fermé ses yeux et a mis une main sous son tee-shirt, sur un de ses seins qu'elle commence à caresser. J'imagine sa main sur son sein (90 C), son mamelon large et sombre, et je vois ses bouts qui pointent sous le tee-shirt. Cette vision me donne la trique (mais en avais-je vraiment besoin ?...) alors je plaque les plantes de ses pieds moelleux (ses wetfeet, comme nous les appelons dans notre intimité...) contre mon visage ; c'est vrai que la légère humidité qu'ils dégagent sont comme une drogue à laquelle on ne peut que s'habituer. Puis je les regarde : ils sont parfaits : Caroline chausse du 39, et ses orteils sont parfaitement alignés. Je regarde de nouveau son visage. Sa main s'agite un peu plus sur son sein, qu'elle caresse maintenant plus énergiquement.
Elle a commencé à écarter ses cuisses sans que je m'en rende compte. Elle me regarde et me demande de m'allonger, pour à mon tour lui présenter mes pieds. Un 69 un peu original, en quelque sorte... Elle me masse les pieds et passe sa langue entre mes orteils, puis les lèche grassement, à grands coups de langue. De mon coté, je tends la main et récupère par terre la banane que j'avais entamée quelques minutes plus tôt : je caresse ses wetfeet avec le fruit, histoire de les lustrer encore davantage. Ses panards commencent à briller ; alors, comme pour appliquer un dernier vernis, je trempe mes doigts dans le coca et passe une petite couche superficielle sur la plante de ses pieds, pour en augmenter la brillance. Le mélange de leur senteur naturelle avec celle du fruit est à se damner. Pour corser encore la sensation, je les masse pour leur donner encore plus de moelleux, plus d'onctuosité, puis, n'y tenant plus, je frotte vigoureusement ses deux plantes avec mes mains, puis j'y jette mon visage, comme s'il s'agissait d'un masque à oxygène.
Elle se met à rire et, en ouvrant les yeux, me dit que je ressemble à quelqu'un qui déguste une glace pied-banane, sauce coca,... un dessert pour les gens qui savent apprécier. Et moi, je me régale. Mais Caro a d'autres envies : elle aussi, elle aime les glaces, mais elle apprécie particulièrement les traditionnelles 2 boules avec le biscuit qu'elle sait transformer en pompe à chantilly... Je commence alors à faire descendre une de mes mains sur sa cuisse, et je la fait rentrer sous son long tee-shirt. Je sens son sexe chaud et humide. Elle commence à se dandiner, et je laisse mes doigts tourner autour de son clitoris.
N'y tenant plus, elle se tourne vers moi, ou plutôt vers mon short, baisse la braguette et sort ma queue, d'une raideur impressionnante. J'abandonne complètement ses wetfeet, et je m'occupe de son sexe avec mes doigts et ma langue, qui s'en donnent à cœur joie. Pendant ce temps, elle s'occupe de ma queue en alternant la branle et la pipe. Ca y est, elle gémit, elle se dandine tellement que j'ai du mal à maintenir ma langue près de son sexe. Le temps de respirer, je retire ma langue et mon visage de son sexe, et je contemple ses wetfeet : le pied que je vois est crispé, et ses orteils sont écartés de plaisir, comme un éventail. Soudain, elle se met à hurler tellement elle jouit, puis, comme pour se venger de ce plaisir que je lui fais, elle me regarde avec une dureté très sensuelle, les cheveux blonds devant ses yeux, et me branle comme une folle, avec une vigueur qui ne me laissera pas le temps de la pénétrer. Elle me sent venir, et elle ne se calme même pas, bien au contraire. Je me mets à éjaculer dans un cri de rage qui lui fait prendre une deuxième fois son pied. Et, en même temps que moi, elle re-jouit et cela me fait plaisir.
Nous marquons tous les deux une courte pause dans nos ébats, puis elle recueille de son visage mon sperme encore chaud et en tapisse la plante de mes pieds, qu'elle commence à lécher avec douceur. Voudrait-elle jouir une troisième fois ? Je souris de bonheur en la voyant faire, puis elle me demande de venir près d'elle, de l'embrasser. En bougeant, je lui relève ton tee-shirt et caresse ses seins. Non, elle ne veut pas jouir encore, elle veut simplement de la tendresse, et quelques caresses. Je suis content qu'elle ait pris son pied, je me suis tellement occupé des siens !!!
(Si vous avez aimé cette histoire et que vous avez des photos de panards à m'envoyer, n'hésitez pas :
wetfeet@libertysurf.fr)

Histoire envoyée par Yannick, un garçon adorable ! Merci Yannick !

 

 

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